LA SANTE MENTALE
Il n’y a aucune honte à se sentir mal, faible.
Avoir des ups and downs arrivent à tout le monde.
Le plus grave c’est de les nier.
De se persuader que ce n’est qu’un mauvais moment à passer.
Sans vraiment faire quelque chose pour les comprendre pour les accepter et apprendre à vivre avec.
Pour cela, il faut oser en parler et se faire aider.
Être à l’épreuve des balles n’est pas une mode.
C’est un schéma destructeur qui retarde simplement le moment où tout risque de s’effondrer tel un château de carte.
Ce serait peut-être la fois de trop.
Irréversible et silencieuse.
Rappelle-toi que :
Tu n’es pas un mauvais moment à passer.
Considère-toi dans ton entièreté.
« Au moment où tu accepte ta vulnérabilité, c’est là que débute ta résilience. »
C’est ça, la santé mentale.
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J’ai longtemps pensé qu’en passant au-dessus des choses les réglerais instantanément.
J’ai fini par comprendre qu’en procédant ainsi, je ne faisais que de les mettre en attente.
Elles finissaient toujours par réapparaitre encore et encore.
Au début, je ne comprenais pas pourquoi j’avais l’impression de rester figée.
Impuissante face à la situation.
Mais c’est tout simplement parce-que je n’avais pas saisi la nuance.
Faire face à son mal-être ne l’efface pas.
On apprend avant toute chose à l’accepter afin de pouvoir vivre avec.
Avec amour et bienveillance.
À partir de là,
tout a été différent.
tout a été plus facile.
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On a toujours baigné dans un mood où être fort, ne rien laisser paraître font de nous des être humains à toutes épreuves.
Aujourd’hui, même si la question de la santé mentale est beaucoup plus considérée, plus en vogue.
Il faut la prendre réellement au sérieux.
Je vois et je constate aussi encore beaucoup trop de résistance.
Je sais combien il est difficile de :
déposer les armes et d’accueillir ses traumatismes.
Vouloir traiter ses cicatrices avec une réelle considération peut prendre énormément de temps et de patience.
« N’ai pas peur de ce qui peut se cacher au fond de toi.
Ai peur de ne jamais pouvoir t’en libérer. »