ECRIS TA VIE

Ecris ta vie, petit à petit.

Parfois, lorsque l’on ferme les yeux.
Ce goût de « et si » vient nous amener à notre imaginaire.

On se plonge aussi profondément que l’on peut dans notre esprit.
Afin d’illustrer notre doux rêve, les choses auxquelles on aspire.

On se rappelle gentiment que ce n’est qu’un rêve et que celui-ci n’a pas de place dans la réalité.

Nous sommes notre propre bourreau.
Nous sommes notre propre briseur de rêves.
Oui, nous prenons en compte beaucoup trop de paramètres parasites.

Alors que, nous devons allons chercher l’amour dont on regorge.
Car tout se construit à partir de la sincérité, de la vérité qui découle de notre cœur.

Nous devons faire de la réalité une partie de notre rêve. Vous saisissez la différence ?

En effet, l’espoir nous guette à chaque virage que l’on emprunte au cours de notre vie.
Peu importe notre avancée au cours de celle-ci. Bien que le chemin fut semé d’embûches.
Il suffit de le saisir aussi fort que possible, de le poncer, de l’aiguiser et de le montrer au
monde entier.
Car le partage est un élément important du processus . Nous nous devons de transmettre,
de léguer afin de préparer nos générations futurs.

Alors, si on vous a crié trop fort, trop de fois que les rêves c’est pour les enfants, répondez
simplement que peu importe votre âge vous restez l’enfant de quelqu’un.
Si pour vous un rêve ne fait pas partie de la réalité, j’espère avoir attisé votre curiosité
afin que votre « et si » devienne un fait.

En ce qui me concerne :
Ma réalité est mon rêve.
Mon rêve est ma réalité.
Personne ne m’empêchera de rêver.

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Enfant, mon frère, ma sœur et moi-même avions l’habitude d’inventer les jeux les plus farfelus. On s’amusait à leur donner vie, nous étions tellement à fond dans nos jeux de rôles, dans nos scénarios. On arrivait à créer un monde, un langage, une façon de vivre. On pouvait être, faire et vivre ce que l’on souhaitait.
Chaque chose qui se représentait dans notre esprit finissait par exister.

Alors, pourquoi aujourd’hui, il serait compliqué de faire « comme si », si nous étions à même de le faire étant enfant ?

Le monde d’adulte a tendance à nous brimé et faire que nous prenons cet air grave et sérieux.
On finit par enfouir nos projections au plus profond de notre être.
Pour finalement constater que la vie que l’on mène n’est pas celle que l’on avait imaginé.

Personnellement, je n’ai pas envie de vivre avec des regrets et d’en accabler la vie en me consolant avec des « je n’ai pas eu l’occasion » ou « je n’ai pas eu le choix ».
Alors, je vous en prie, peu importe vote âge, votre situation, votre bagage, prenez ce virage avec vos yeux d’enfants. Car n’oubliez pas que :

« Si l’on vous a crié trop fort, trop de fois que les rêves c’est pour les enfants, répondez
simplement que peu importe votre âge vous restez l’enfant de quelqu’un. »

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Libérez votre imagination.